Hier soir, ma journée d’initiation se terminait avec ces mots piochés au hasard :
“La vie est belle. La vie chante, la vie danse alors laisse-toi porter par sa mélodie.”
Il n’y a pas de hasard répétions-nous à souhait lors de “mon Chênelet” entouré d'adorables guerriers et guerrières.
Il n’y a pas de hasard pour qui accepte de s’ouvrir à tout ce qui se présente. Ces mots ponctuent ainsi pour moi merveilleusement une période riche de musique, de chants partagés et des rendez-vous dansés d’une minute par jour. “La vie est belle” ; je vous l’écrivais deux dimanches plus tôt.
Mais cette nuit, un nuage est passé. L’atmosphère s’est alourdie, les étoiles ont été escamotées. Dans le chant des oiseaux et les premiers rayons d’un soleil, je me suis réveillée assombrie, la gorge nouée et le corps figé. J’ai perdu ma flamme jumelle. Mes parents m'ont pourtant prénommée “joie”. Celle-ci ne devrait donc pas être bien loin. Quelque part bien enfouie, protégée, une étincelle à raviver.
Pendant que je cherche, ces mots arrivent à moi caché dans un message sur les herbes médicinales :
"Nous manquons d’énergie non parce que nous faisons trop de choses qui nous épuisent mais parce que nous faisons trop peu de choses qui nous nourrissent. Prenez le temps de vous demander « Qu’est-ce qui me nourrit ? Qu’est-ce qui redonne de la vie à ma vie ? » et autorisez-vous à le placer parmi vos priorités. Tout simplement parce que vous aussi, vous y avez droit." ~ Nathalie Jongen
Comme une clef elfique, un talisman rare qui permet de voyager d’un monde à un autre. Je vais frapper la derbouka qu’une belle rencontre m’a prêtée il y a quelques jours. Je met du rythme en frappant “Hippopotam-tam” avec les garçons. Je retrouve une pulsation et je quitte la grisaille de mes pensées pour me retrouver les deux pieds dans l’herbe verte des Grands Clairs.
Et vous, qu’est-ce qui vous nourrit ?
Chacun son chemin, je vous souhaite de découvrir le votre.
Bonsoir,
Je voulais simplement faire part que j’éprouve (et j'ai toujours éprouvé) quelques difficultés avec ces phrases, que je trouve, excusez l'expression,"emberlificotées", je n'ai jamais ressenti ce besoin d'écrire ces phrases compliquées qui ne me (pour reprendre l'expression) ravive pas l'étincelle. Et de les lire, ne m'apporte pas d'émotion particulière.
Désolé!
Non, je ne suis pas aussi "zen"
Il me faut autre chose !
quoi ??
Bonne soirée